Journée mondiale du diabète
Ascensia DiabetesCare a participé au World Diabetes Day, et ceci n’est pas passé inaperçu. Que penser en effet de la belle collection de 30 portraits de femmes captivantes venues de 28 pays ? Toutes, autant qu’elles sont, elles ont un impact personnel sur la manière dont chacun d’entre nous appréhende le diabète.
Toutes ces femmes sont d’une manière ou d’une autre confrontées au diabète. Leurs histoires inspirent tous ceux qui, de près ou de loin, ont affaire à cette affection. Le groupe est composé de patients, de blogueurs, de parents, de médecins, d’infirmières, de journalistes, de collaborateurs d’Ascensia et Panasonic Healthcare … pouvoir les mettre en scène est un véritable privilège. Leurs portraits et vidéos ont été utilisés pour une campagne mondiale sur les médias sociaux, des activités médias et des galeries pop-up dans les bureaux d’Ascensia. En admirant ces œuvres d’art et ces vidéos numériques, en les ‘likant’ et en les partageant, vous avez pu exprimer votre soutien à la Journée mondiale du diabète.
La portée et l’estime sur les médias sociaux ont été formidables. Les résultats de la campagne de l’an dernier ont été largement dépassés. Globalement, nous avons atteint 14 millions de personnes avec notre campagne (contre 2,8 millions l’an dernier), dont 12,5 millions via Facebook. Plus de 1,3 million de personnes ont été impliquées activement dans la campagne via tous les canaux de médias sociaux (contre environ 400.000 l’an dernier), avec 1,2 million de vues pour les vidéos de la campagne, 63.000 likes et réactions. La campagne a en outre été partagée plus de 1.300 fois. Jetez un petit coup d’œil à l’infographie !
Vous n’avez pas encore vu ‘nos’ personnages ? Faites immédiatement leur connaissance ! Les portraits et vidéos se trouvent sur notre site web et sur les canaux Facebook, Twitter et Instagram d’Ascensia.
Partir en voyage, ce n’est pas évident avec le diabète. Pourtant, nombreuses sont les personnes qui aiment changer d’horizon loin de chez elles. Brenda Huybs a un enfant diabétique et Bea Pors, Néerlandaise, est manager destination dans une agence de voyages et doit gérer son diabète dans des destinations lointaines et reculées. Ces deux femmes de caractère nous racontent leurs expériences : “Si vous êtes vous-même en vacances, votre diabète ne l’est pas.”
“Uniquement avec des gens
qui connaissent parfaitement
la destination”
(Brenda Huybs)
Brenda est une maman isolée. Sa fille Ella (6 ans) est atteinte de diabète depuis qu’elle a quatre ans. Ses trois aînés sont en bonne santé. “Le diagnostic a été posé après les symptômes classiques : beaucoup boire et uriner’, raconte Brenda. “Et je ne connaissais rien de cette affection. Tout mon monde a été chamboulé et je ne pouvais pas m’adresser à beaucoup de gens pour obtenir de l’aide. Heureusement, mes enfants plus âgés m’assistent. Le diabète est ennuyeux, mais nous nous attachons aux belles choses, comme partir ensemble en voyage.” Ce n’est pas simple : le taux d’hémoglobine (HbA1c) d’Ella atteint un 6 acceptable, mais sa glycémie est fort variable. “Elle est très capricieuse et donc, les ‘hypos’ menacent. Les variations nocturnes constituent le plus gros problème. Sa glycémie peut augmenter sans crier gare. Ella dispose d’un CGM (Continue Glucose Monitoring) qui donne l’alerte lorsque sa glycémie est trop basse. Pendant qu’elle est à moitié endormie, je lui donne du lait chocolaté. Cela m’oblige chaque nuit à sortir de mon lit. L’insuline, elle la reçoit via une petite pompe.”
Comment parvenez-vous à tout régler ?
“La convention diabète à laquelle nous nous adressons depuis peu apporte une aide considérable. J’y obtiens des réponses à mes questions, ainsi qu’un meilleur soutien. Nous ne disposons pas pour autant d’un point de contact central pour avoir des informations ou du matériel éducatif.” Heureusement, Brenda peut de temps à autre aller en voyage avec les enfants. “L’été dernier, nous sommes partis en avion en Hongrie. La première chose que je fais lorsque je prépare les valises, c’est prendre un sac et y mettre tous les médicaments pour le diabète. En ce compris le matériel de réserve, un stylo à insuline au cas où la pompe rendrait l’âme, le lecteur de cétonémie… le sac est bien rempli. Les enfants doivent donc me laisser tranquille un moment, parce que je dois bien pouvoir y réfléchir.”
Comment choisissez-vous vos destinations ?
“Je vais chez des amis ou des connaissances sur place. Je m’assure d’avoir toujours un plan d’urgence : qui sait, peut-être devrons-nous aller de toute urgence à l’hôpital. Je ne me rends pas dans une destination à l’étranger où je ne connais personne. Nous sommes allés en Lettonie, à un camp de violon, accompagnés du professeur de violon. J’ai préalablement bien tout convenu avec l’organisation. Nous n’avons encore jamais dû recourir au plan d’urgence, même si à la maison, il nous est déjà arrivés de filer en quatrième vitesse aux urgences.”
Quels sont vos principales préoccupations avant votre départ ?
“Veiller à avoir une pompe de réserve et vérifier auprès de l’assurance qu’elle soit couverte en cas de dégât durant le voyage : elle coûte environ 4.000 euros. Et puis, il y a l’aéroport : je prends le matériel contre le diabète dans mon bagage à main. Si la valise s’égare, c’est un problème. Mais à l’aéroport, vous devez aussi passer le scanner et tout n’est pas autorisé. Il faut donc tout ouvrir, Ella est fouillée, je dois rester à un mètre de distance… essayez d’expliquer en Lettonie ou en Hongrie qu’elle a besoin de tout ce matériel, même si je possède un document en anglais ! À Riga, une équipe médicale est même intervenue pour me laisser passer ! Ce n’est pas agréable, mais cela ne nous retient pas. Cela nous renforce même en tant que famille.
Bea a 32 ans, est folle de voyages lointains et est atteinte du diabète de type 1 depuis ses 15 ans. “Je m’injecte de l’insuline (Novorapid et Levemir) quatre fois par jour et mon Hba1c moyen est environ de 56. En comparaison avec le Néerlandais moyen, je voyage très souvent. L’an dernier, je suis allée en Inde, à Berlin, à Las Vegas, en Chine et une autre fois en Chine et en Mongolie !”
“Une double cargaison de
médicaments dans mes bagages”
(Bea Pors)
“Je trouve que c’est chouette de voyager dans des pays où le contraste avec les Pays-Bas est saisissant”, raconte Bea. “Je suis manager destination dans une agence de voyages en ligne. En 2017, je me suis rendue en Chine et en Inde pour mon travail. En peu de temps, il faut voir le plus de choses possible pour concocter avec toutes les expériences vécues un produit qui convient. Cela signifie que je dois inspecter des hôtels, tester des excursions et chercher de nouveaux endroits. C’est très chouette, mais aussi intensif, certainement dans des pays comme l’Inde et la Chine, où les distances sont grandes.”
À quoi faites-vous attention en voyage ?
“La nourriture, les médicaments et la durée du voyage sont les aspects les plus importants. Pour mon voyage en Mongolie, je savais à l’avance que je séjournerais durant deux semaines dans des régions inhospitalières. Il n’y a pas de magasins, d’hôpitaux ou d’autres équipements médicaux. Je sais alors que je dois gérer attentivement mon diabète. Je veille à avoir un stock de dextrose et j’emporte quatre boîtes de biscuits... just in case. Ce qui a également compliqué les choses, ce sont les activités : de longues randonnées dans les montagnes, de l’escalade et de la grimpe. Les ‘hypos’ menaçaient tout le temps. J’ai souvent dû faire appel à ma réserve de nourriture. En plus, il faut aussi trimballer suffisamment de médicaments : mon paquetage quotidien comportait toujours une demi-pharmacie. De toute manière, j’emporte le double de médicaments de ce que j’utiliserais ici.”
Avez-vous déjà été confrontée à une situation d’urgence ?
“Non, en fait, je m’occupe mieux de mon diabète à l’étranger qu’ici. Je le contrôle plus et je me prépare mieux. Étant donné que je suis plus active à l’étranger, mes taux sont souvent plus élevés. La différence de nourriture et le décalage horaire ne facilitent pas la gestion. Si vous êtes vous-même en vacances, votre diabète ne l’est pas. L’essentiel, c’est de contrôler et mesurer davantage. Dans le même temps, je trouve que des taux plus élevés ne sont pas si graves. Ce qui m’irrite le plus, c’est de devoir trimballer les médicaments et la nourriture. Mais je veux voir le monde et mon diabète n’a qu’à m’accompagner.”
Conseilleriez-vous aux gens de voyager malgré leur diabète ?
“Certainement : le diabète ne doit pas les retenir. Je lis parfois sur des forums que des gens n’osent pas aller à Bali parce que les hôpitaux n’y ont pas les mêmes critères qu’ici. Je me dis qu’il ne faut pas se réfréner ainsi. Là aussi, des gens ont le diabète et puis, quel est le risque de se retrouver à l’hôpital durant vos vacances ? De plus, Bali est une destination touristique fort fréquentée où l’on parle anglais. Si quelque chose survenait, tout se passerait bien. Mon goût du voyage est plus grand que ma crainte que quelque chose ne se passe pas bien…”
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Préparation
Ingrédients
Valeur nutritionnelle par portion ( = 0.5 KHW)
Valeur énergétique 234 kcal (980 kJ)
Protéines 14.4 g
Matières grasses 10.1 g dont 2 g acides gras saturés
Glucides 6.5 g, dont 0.4 g de sucres
Céréales 0.2 g
(Source : Lekker zonder suiker – recepten met Frank Fol – Uitgeverij Lannoo i.s.m de Diabetesliga)
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